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 Les Non-contaminés -- MAJ du 03/2009

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Jess
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Jess


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MessageSujet: Les Non-contaminés -- MAJ du 03/2009   Les Non-contaminés -- MAJ du 03/2009 Icon_minitimeVen 29 Juin - 22:24

OBSCURE RPG -------------------------------------------------------------------------------- PROLOGUE

LEAFMORE HIGH – session 2007/2008

Septembre.
La fin des vacances, ses feuilles mortes, son atmosphère nostalgique et ses élèves mélancoliques…
A Leafmore High School, élèves et professeurs se retrouvent au gymnase pour la cérémonie d’ouverture de la nouvelle année scolaire. Seulement, M. Hubert n’est pas là.
M. Hubert est absent.
M. Hubert, c’est le Directeur de l’école, on raconte même qu’il en est le fondateur, mais aujourd’hui un autre homme a prit sa place.
Ainsi, le nouveau Directeur annonce que M. Hubert ne reviendra pas et qu’il est désormais de son rôle de veiller à la bienséance de Leafmore et de ses élèves.
Aussi le nouveau Directeur annonce-t-il que l’Internant du lycée, fermé depuis des années, sera à nouveau ouvert, et que par conséquent – soucis de factures sembla-t-il affirmer, la climatisation du secteur scientifique sera restreint voir supprimée lorsqu’il s’agira de lieu tel que le Labo désaffecté, qui, situé derrière l’Internat, n’eut jamais d’utilités particulières…

Ainsi, vous commencez –ou poursuivez votre année à Leafmore High.
A vous de voir.

Les semaines, puis les mois s’écoulent.
Vous passez vos premiers examens, formez votre groupe d’amis, connaissez des déboires affectifs… quoi de plus normal ?
Votre vie au lycée se passe comme tout élève de votre catégorie, Leafmore est on peut le dire on ne peut plus irréprochable – peu être ces quelques fuites d’eau ou encore ce problème persistant du chauffage à l’Internat sont pour ainsi dire les seuls bémols à votre confort.

Vous passez ainsi les deux premiers trimestres de votre scolarité avec une naïveté conséquente, riez de misères, palissez de vos précédents bulletins ou blâmez ces quelques moisissures qui ont envahit les couloirs de l’aile nord : Internat et Réfectoire, de même que l’eau du lycée que certains qualifies de « ferrique ». Inbuvable.

Noël est ses fêtes s’éloignent, la langueur et les senteurs parfumées du printemps s’installent, l’angoisse des partiels aussi.

Puis vient Mai.
Mai et sa légère brise matinale, sa chaleur bienveillante et son soleil princier.
Vous êtes pour ainsi dire à l’apogée de vos humeurs.

Ces élèves-là aussi…………

Midi sonne, vous vous dirigez vers le Réfectoire afin de répondre à cet harcèlement sonore que produit votre abdomen depuis voilà bien 1 heure, lorsque vous apercevez certains de vos camarades –d’habitude d’autant plus hâtifs que vous, courir en contre sens, puis des professeurs dans l’autre.
Vous les arrêtez. Vous les questionnez.
On vous dit qu’un groupe d’élèves sème ma zizanie dans le Réfectoire, que ses élèves auraient renversés tables, plats à service ou encore camarades trop peu rapides.
Des cris s’élèvent, des bruits résonnent. On raconte qu’ils sont violents. Les professeurs décommandent la pause-midi et vous congédie. On vous demande de ne pas approcher.
En gros « allez voir ailleurs ».

Soudain, l’alarme incendie s’enclenche.
Comme tout bon élève bien formaté, vous et votre ventre déçu faites volte-face et vous dirigez maintenant vers le gymnase, sous le contrôle des différents professeurs présents.
Les portes du Réfectoire ont étés fermées, l’on entend plus que des bruits sourds.

Au gymnase, les portes on étés verrouillées, de folles rumeurs circulent : élèves violents, élèves armés. Elèves blessés.
Les professeurs sont taciturnes, ils ne vous diront rien. Eux même en savent trop peu. Bientôt, après comptage des élèves, une vérité accable : la totalité des internes sont absents ! Un professeur de lettre, décide d’aller à leur recherche. Un autre le suit.
Ils sortent, mais ne ils reviendront pas.
Dans le gymnase, la foule s’agite. Voilà plusieurs heures que vous restez là, vous vous ennuyez, vous inquiétez, vous énervez, avez faim. Bref, impatient de retourner à vos hobbies habituels, vous vous rapprochez de votre professeur titulaire, lui susurrez à l’oreille. Ce dernier, peu expressif, est tout aussi ignorant que vous, lorsqu’il déclare après une brève réflexion « la police doit être là ».
Cette déclaration laisse perplexe. Fait réfléchir. Bientôt, deux autres professeurs quittent le gymnase, sortir en duo est toujours plus prudent, voir plus efficace celons les circonstances. Un autre heure s’écoule, l’effectif scolaire se réduit encore : cette fois, il y vont par trois, bientôt par un car ils ne sont plus que deux.
Bientôt, le dernier professeur quitte le gymnase, vous verrouillant les portes et trousseau de clefs en poche. La grande porte du gymnase, vous la voyez se refermer devant vous dans son lourd son de gonds rouillés et de bois crissant.
Bientôt un silence. Le professeur est partit. Vous êtes seul. Seuls.
Bientôt les yeux qui s’agrandissent, les bouches qui se figent. Puis la cohue. Murmures incessant, rumeurs affreuses qui créés un écho morbide dans le gymnase.
Certains en ont assez. Ils veulent sortir.
Alors on fracasse les portes des vestiaires, on saisit bancs et portes manteaux. Un bon bélier se fait avec peu de choses…
Vous ne participez pas à cette envolée révolutionnaire, bien gentiment assis – ou même debout, au milieu du reste de l’effectif des élèves. Dubitatifs vous ne semblez ni approuver, ni même réprimer le sursaut d’impulsivité de vos camarades, peut-être trouvez-vous cela amusant ?

Mais les rebelles et vous-même êtes bien vite calmés dans vos ardeurs : la grande porte vient de s’ouvrir, mais elle fera naître en vous une vision des plus diabolique : le professeur est de retour, mais ses yeux son mornes et un liquide chaud et pourpre recouvre son visage. Des lambeaux de sa veste autrefois soigneusement lissée révèlent des fragments pendants de chaires qui n’en sont que les restes de l’un de bras violemment arraché. Mutilé, défiguré et agonisant, le pauvre homme parvient à effectuer quelques pas, titubant, suffoquant, maladroit, avant de s’écrouler sous les cris horrifiés des élèves présents autours. Le sang se répand rapidement sur le parquet ciré, les pieds reculent d’horreur pour échapper à ce ruissellement funèbre.
D’aucuns élèves n’osent l’approcher, presque d’autant plus répugnant qu’un chien qu’on aurait trouvé crevé au bord d’un vieille route.
Il ne bouge plus, mais n’est pas encore mort.
Bientôt au sein des élèves, un garçon semble se démarquer des autres, se frayant un chemin parmi la foule de tout ces voyeurs macabres. Ce garçon, vous le reconnaissez immédiatement, il s’agit du Président des élèves de 3ème année.
« Jess »
Le jeune homme, non pas hésitant, parvient néanmoins à s’agenouiller aux côtés du professeur mourant, l’observant quelques instants avant de se résoudre à le retourner –à mains nues sur ses genoux.
Il vit ses derniers instants.
Vous observez toujours la scène, et ne pouvez qu’éprouvez face à l’horreur une certaine admiration pour cet élève, qui n’hésite pas à essuyer la bouche du professeur avec le revers de sa manche.
Jess tente ainsi de maintenir le professeur éveillé, lorsque ce dernier, entre deux tremblements, parvint mouvoir ses lèvres durant un très court instant, Jess rapprochant son oreille afin de saisir la totalité du message.

« ... ne sortez pas... ils vous tueront... ils sont là…
.... les autres… »


Jess contemple encore le visage de ce dernier, lorsque ses yeux s’exorbitent à son tours.

« Putain, il est mort. »


Une élève éclate en sanglots, un autre commençe à courir en hurlant dans tout les sens devant le cadavre inanimé de son professeur. D’autres encore commencent à gémir à leur tour, libérant le chaos insatiable que pouvait provoquer l’adrénaline d’un tel moment : la Peur. L’Effroi.
La Terreur.
Immédiatement la foule se transforme en un tourbillon de désespoir et de panique. Certains élèves, paralysés par la peur, s’agenouillent contre les murs, contractant leurs muscles dans l’espoir de se réveiller d’un tel cauchemar. D’autre, plus impulsif, hurlent leur rage.

Soudain, un immense cri de fureur envahit la vaste salle. Foudroyant. Crissant.
Mais cela ne venait pas d’un élève….
Cela vient de l’extérieur…..

Tétanisés à l’idée de ce que cela puisse être, Jess, après avoir récupéré la clé du gymnase, envoie directement l’un de ses camarades verrouiller la porte.
Ne surtout pas regarder à l’extérieur…
Mais déjà, une vingtaine d’élèves se précipitent en direction des hublots, montant sur chaises, tapis et caisses, témoins de l’effroyable spectacle…

Dehors, sous les rayons déclinants du soleil monotone, un groupe d’élève s’élance tel une horde de bêtes enragées en direction des grilles nord du lycée. De l’autre côtés des grilles, plusieurs voitures de patrouillent sont immobiles – la police. Mais aussi, des fourgons…. et là, des hommes casqués… il n’y a pas que la police…

La scène fut brève, sèche. Tout se passa très vite.
Les détonations aussi.
Ils les tuèrent tous.
Un à un, les élèves s’effondrent, tombent, se plis sous l’impact des balles.
Ils sont abattus.

Dans le gymnase, derrières les hublots, les élèves tombent de leurs chaises, vomissent, crient, gémissent, hurlent.

Le véritable cauchemar commence…


_______________________________________________________________________________________

LE RPG :

>> Au début de votre RP, vous êtres obligatoirement parmi les élèves retenus dans le gymnase, et pas autre part, le gymnase est pour le moment fermé, vous ne pouvez pas en sortir et vous ne pouvez obtenir la clef par vos propres moyens.

Le gymnase est votre QG, vous ne rencontrerez pas conséquent aucuns ennemis à l’intérieur –ou du moins pour le moment.

Au début de votre partie, on vous affirme que votre quarantaine musclée est due à une contamination massive de l’eau du robinet de votre lycée par un substance chimique hautement toxique et provoquant un épidémie extrêmement contagieuse. >> bien sûr cela est faux, vous le découvrirez au fur et à mesure de votre partie, mais c’est la seule chose que vous pouvez savoir au début du jeu !
Et donc, en aucuns cas vous ne pouvez boire ! ! ! L’eau du lycée est imbuvable et même un energy drink ne vous permet pas d’étancher votre soif!!

Bon RP à tous !
Et surtout……… restez en vie xD

>> Rendez-vous désormais lire le règlement du rp, puis dirigez vous vers le tableaux noir
[Zone Rp --> GYMNASE --> La grande salle --> tableau noir]
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